( excusez moi, mais je ne pourrai être là mardi prochain, j’essaie de laisser un commentaire…)

Je suis bien entrée ( au début et à la fin-avec son besoin de « retour »)dans le vécu et le désarroi de l’auteur, parallèlement à celui tout à fait différent de celui de ses parents, et la distance qu’elle installe petit à petit entre elle et eux ( souvent par le choix du vocabulaire). son vécu et son ressenti avec « les autres »: adultes ,enfants, lieux, milieux, contexte historico-politico-socio….., le passage d’ une culture à l’autre.

Mais avec beaucoup plus de difficultés dans tte la partie de l’évocation de son anorexie. Là aussi parfois elle change de registre de vocabulaire, plus familier pr exprimer la violence de son mal-être . je l’ai ressenti comme si elle y éprouvait le besoin de parfaire, à posteriori,son travail de psychothérapie. J’ai trouvé cela un peu fastidieux.


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